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18/05/2016

Allen B et les bonnes vibrations de J'ai pris le train !

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Allen B sort un clip animé pour J'ai pris le train, avec un personnage animé qui envoie des bonnes vibrations positives ! Ce personnage est l’incarnation de la cool et positive attitude et du laisser aller comme il le dit si bien dans les chansons « s’en balancer », « J’ai pris le train » ou « Nouveau Départ ».

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Allen B situe son personnage dans un univers urbain qui le rapproche de nous et nous invite à voir le bon côté des choses. Son album et ses vidéos sont des sortes de « road trip », mais pas pour partir très loin, juste pour s’évader de temps en temps de la prison des villes et de son stress quotidien.

Découvrez « J'ai pris le train » et laisser vous embarquer vers un monde « Feel Good » qui, espérons-le, vous fera vous aussi vous sentir bien.

25/09/2013

Paris N'existe Pas renait pour le grand plaisir des cinéphiles

Voilà un événement : Paris N'existe Pas mérite un sérieux coup de projecteur. Le film de 1969 de Robert Benayoun était considéré comme perdu. Il ressort mystérieusement le 6 novembre. Et le verdict ? Incroyable pour les amateurs de la nouvelle vague, et pour les fans de Gainsbourg, étonnant de magnétisme, et auteur d'une BO avec Vannier, très présente, qui vaut le détour.

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L'histoire : invité à une soirée, Simon, un artiste, y fume une substance aux propriétés étranges. Après cette expérience, il développe des capacités extrasensorielles qui lui permettent de voir le futur et le passé. C'est ainsi qu'en retournant chez lui, Simon voit la femme qui occupait l'appartement trente ans plus tôt. Un ami tente de le rassurer. Ces dons lui proviennent de sa sensibilité artistique à fleur de peau, rien de plus. Mais Simon n'est pas convaincu, car les hallucinations se font plus précises...

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Si “Paris n’existe pas” pose des questions intéressantes sur l’art et la place de l’artiste dans la cité, le film traite avant tout du temps et de notre appréciation de la réalité à l’instar de la question d’Angéla à Simon : “Qu’est-ce qu’il vaut mieux voir, le pont Alexandre ou ce qu’il nous cache” ou des jolies tirades de Laurent (Gainsbourg) “Tu sais, on a jamais su exactement ce qui sépare le passé de l’avenir (…) Le temps est une spirale, une succession infinie de séries que nous combinons à notre guise. Dans nos rêves par exemple (…) »

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On ressent dans ce film toute l’ébullition artistique de l’été 68 et Benayoun nous livre 93 minutes de pellicule habilement tournées et montées, un voyage au sens “trip” du terme où rêve et imagination prennent toute leur place : indispensable.

 

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