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07/10/2013

leSpark sous la houlette de Louis Bertignac avec Portland Town

 

On les suit depuis un moment. leSpark avance à grands pas sur le chemin de la reconnaissance. Marqué par les Stones, Iggy Pop, et le rock seventies qu'il a su digérer, ce groupe ultra looké sort ce premier single Portland Town en français, en studio avec Louis Bertignac pour un disque ultra attendu !

Ils seront sur scène le Vendredi 11 Octobre 2013 à La JAVA (Xème) et le 25 et 26 Octobre 2013 à Londres. LeSpark jouera en 1ère partie de Bill Wyman (ancien bassiste des Rolling Stones) le 2 Décembre 2013 au Palais de l'Elysée ainsi que Louis Bertignac.

facebook.com/lesparkmusic

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04/10/2013

Yann Destal, hymne spatial et rock à la liberté !

On vous conseille de jeter une oreille attentive à Walk with me, le morceau de bravoure de Yann Destal, ancien Modjo et incroyable songwriter pop ici en pleine mégalo rock.

Hypnotisant voyage dont on revient essoufflé !

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25/09/2013

Paris N'existe Pas renait pour le grand plaisir des cinéphiles

Voilà un événement : Paris N'existe Pas mérite un sérieux coup de projecteur. Le film de 1969 de Robert Benayoun était considéré comme perdu. Il ressort mystérieusement le 6 novembre. Et le verdict ? Incroyable pour les amateurs de la nouvelle vague, et pour les fans de Gainsbourg, étonnant de magnétisme, et auteur d'une BO avec Vannier, très présente, qui vaut le détour.

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L'histoire : invité à une soirée, Simon, un artiste, y fume une substance aux propriétés étranges. Après cette expérience, il développe des capacités extrasensorielles qui lui permettent de voir le futur et le passé. C'est ainsi qu'en retournant chez lui, Simon voit la femme qui occupait l'appartement trente ans plus tôt. Un ami tente de le rassurer. Ces dons lui proviennent de sa sensibilité artistique à fleur de peau, rien de plus. Mais Simon n'est pas convaincu, car les hallucinations se font plus précises...

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Si “Paris n’existe pas” pose des questions intéressantes sur l’art et la place de l’artiste dans la cité, le film traite avant tout du temps et de notre appréciation de la réalité à l’instar de la question d’Angéla à Simon : “Qu’est-ce qu’il vaut mieux voir, le pont Alexandre ou ce qu’il nous cache” ou des jolies tirades de Laurent (Gainsbourg) “Tu sais, on a jamais su exactement ce qui sépare le passé de l’avenir (…) Le temps est une spirale, une succession infinie de séries que nous combinons à notre guise. Dans nos rêves par exemple (…) »

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On ressent dans ce film toute l’ébullition artistique de l’été 68 et Benayoun nous livre 93 minutes de pellicule habilement tournées et montées, un voyage au sens “trip” du terme où rêve et imagination prennent toute leur place : indispensable.

 

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