Hypnolove au pays de Camaron !

Prenez le temps de savourer l'electro haute couture d'Hypnolove dont on savoure le nouvel album Ghost Carnival sur la durée. Pas mal de bijous sonores dessus !

Midnight Juggernauts, drôles de cocos electro

Doux, dingues, et doués, les Midnight Juggernauts de font pas mentir leur réputation ét dévoilent avec Ballad of the war machine un troisième album Uncanny Valley qui remet la musique electro en place à coups de pop songs synthétiques étoilées.

 

Ce disque marque le retour longtemps attendu des Midnight Juggernauts, leur première sortie depuis les trois années qui nous séparent de leur précédent LP. Après avoir tourné longtemps et surement de Brisbane à Barcelone, Berlin ou Bogotá, le trio a pris une ‘pause’, qui en fait consistait à se jeter corps et âme dans toutes sortes d’aventures ésotériques, expériences excentriques, noubas inspirées, et entreprises ambitieuses.

On a lu et aimé le magazine Prussian Blue !

Découverte du moment, cette revue dont le numéro 4 vient de sortir est un summum d'intelligence, d'élégance et d'acuité.

Prussian blue, magazine d’art trimestriel, a une ligne éditoriale singulière : montrer au public ce qu’il ne voit pas d’ordinaire. Dirigée par le grand photographe Guillaume de Sardes, Prussian Blue bénéficie d'un bouche à oreille pas étonnant au vu de sa qualité.

Le magazine Prussian Blue propose une vision décalée de l’art au croisement de la création contemporaine et de la mode, mais aussi, par goût des contrastes, du classicisme le plus élégant. De la tenue donc, mais avec une pointe d’excentricité. La voie suivie est celle du dandysme artistique qui est le propre des amateurs, au meilleur sens du mot. Conformément à cette ligne, Prussian Blue s’attache à offrir des repères aux lecteurs, donnant accès aux ateliers des artistes, expliquant leur travail, informant de tout ce qui touche au marché de l’art, des collections privées aux ventes publiques.

Au sommaire,Tim Eitel. Tim Eitel est considéré comme l’un des peintres figuratifs les plus importants de sa génération, de longs entretiens avec André S. Labarthe et Philippe Grandrieux pour la rubrique cinéma, un article sur la liturgie cosmique de Le Corbusier pour la rubrique architecture, et des photos inspirés d’Antoine d’Agata (membre de la mythique agence Magnum), ainsi que de Nicolas Comment et Guillaume de Sardes qui ont  photographié deux jeunes comédiennes Barbara Opsomer et Régina Demina.

A se procurer d'urgence !

FASHION SHOOTING BY GUILLAUME DE SARDES from candid & young on Vimeo.