Tanis, retour au vert avec Losing My Mind

Tanis est la fille de l’auteur-producteur Jean Chalopin (Les Mystérieuses Cités d’Or, Ulysse 31, Inspecteur Gadget, Les Bisounours, etc…) et de Ethel Fong, une top-mannequin d’origine singapourienne (Campagne Armani 1985, Channel etc..).

Suivant ses parents autour du monde, mais aussi pour ses études et ses photographies, Tanis a voyagé un peu partout, de l’Indonésie au Groenland, et de l’Afrique du Sud à l’Alaska, et grandi dans six pays différents, lui donnant la chance de s’intégrer à d’autres cultures et de parler, en plus du français, l’anglais et le chinois très couramment, mais aussi l’italien.

C’est sans doute parce que son père adorait la musique sans pour autant avoir pu devenir musicien dans son enfance que les maisons dans lesquelles Tanis a grandi étaient peuplées d’instruments de musique. Ainsi Tanis est « entrée en musique » dès son plus jeune âge.

Pianiste, guitariste, percussionniste et un peu violoncelliste, mais aussi sachant utiliser sa voix mélodieuse, Tanis vit au cœur de la musique et c’est avec la musique en son cœur que sa vie artistique de musicienne, photographe et actrice continue à se développer.

Après Ce n'est pas moi, on retrouve le charme envoûtant de la voix de Tanis qui séduit avec Losing My Mind, une hymne mondial avec une touche soul !

Blackout, premier EP bientôt disponible chez PBC Music

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Duplessy retrouve ses Violins of the World pour l'album Crazy Horse

Revoici Duplessy, musicien sans passeport musical, fougueux guitariste qui reforme ses Violins of the World pour Crazy Horse, somptueuse rencontre musicale de virtuoses qui s'éclatent en musique et nous avec !

Compositeur français ayant fait ses armes comme guitariste accompagnateur de la scène « world » traversant l'hexagone, Matthias Duplessy a développé un projet plus personnel autour de trois vièles asiatiques et la notion de voyage.

Il invite ainsi à cheminer sur les traces de Marco Polo, le long de la route de la soie, et à croiser les sonorités du violon chinois, indien et mongol comme on fait escale en des terres inconnues. Ce spectacle est une épopée aussi musicale que mystique. Avec Crazy Horse, parus chez Absilone / Socadisc, le voyage se poursuit avec des étapes aux USA, en Scandinavie, en Inde.... cela ne ressemble à rien de connu et c'est magique !

Abaji ouvre ses valises et sort Routes & Roots

Abaji est un musicien majeur, de la trempe de John McLaughlin, Bireli Lagrene, Bill Frisell et tant d'autres : un virtuose sage et curieux qui a connu mille vies et transmet sa flamme musicale avec un brio tel que l'on voudrait aider à le faire plus connaître.

Abaji est toujours sur les routes, il en rapporte des trésors musicaux, et une inspiration jamais en berne, une poésie heureuse et pleine de saveurs qui rend l'écoute de sa musique revigorante pour les sens et pour l'âme. Exilé en France depuis 1976, Abaji a des origines diverses qui expliquent son multiculturalisme musical, et sa capacité à tout mélanger.

Il publie aujourd'hui son 6° opus intitulé Route&Roots, un titre qui résume à merveille l'esthétique du projet dans lequel l'artiste convie les joueurs de doudouk Vardan Grigoryan et de kakak kemane Mahmut Demir.

Respectivement d'Arménie et de Turquie, ces deux musiciens participent à ce retour aux sources voulu par Abaji qui, au chant, au oud, à la flûte, au bouzouki et autres cordes ou percussions, rend les frontières perméables et réconcilie deux peuples aux relations tendues.

Enregistré sur son home studio, Abaji prouve que le naturel est souvent le meilleur miroir possible pour laisser la musique respirer et toucher son public ! Le disque Route et Roots est disponible. Un concert sera donné à Paris au Pan Piper le 09 avril, soyez-y !